Un banc, des silences, et un sycomore pour témoin. Arthur CAVALIER revient avec « Sous les Sycomores », ballade poignante aux reflets de blues, où l’amour se consume lentement, comme une cigarette oubliée entre deux mains qui ne se cherchent plus. La guitare y pleure doucement, la voix vacille entre lucidité et mélancolie, et les mots frappent avec une vérité désarmante : « Tu me vends l’enfer ». Dans un clip noir et blanc d’une beauté sobre et presque hantée, réalisé par Arthur CAVALIER lui-même avec Sophie Péault, une femme mystérieuse traverse les paysages et les souvenirs, fantôme d’un passé qui refuse de se taire. Tout est à sa place : l’esthétique est léchée, la narration maîtrisée, et le résultat touche en plein cœur. This is Riviera vous invite à vous perdre avec élégance dans cette mélodie suspendue.
« Tu me vends l’enfer » – Arthur CAVALIER
Arthur Cavalier : entre confidences folk et horizons à venir
Si vous ne connaissez pas encore Arthur CAVALIER, il est temps de tendre l’oreille. Avec son univers indie rock nourri de pop française et sa manière si sincère de poser ses émotions sur des mélodies cousues main, le chanteur s’impose comme l’un des conteurs les plus touchants de sa génération. Et la suite ? Un premier album est en préparation, promettant de prolonger ce voyage dans ses territoires teintés d’une douce obscurité.
Ses morceaux précédents, comme « Brume de Bohème », « Voilà ta loi » ou « Avalanche », sont autant de fragments de vie mis en musique, racontés avec une poésie brute et une voix qui ne triche jamais. Originaire d’un monde où la musique se partage comme un secret, Arthur CAVALIER ne compose pas pour séduire, mais pour exister. Alors soyez attentifs… la suite s’écrit bientôt.
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