Fulgurance rythmique et texte bien taillé : Sypher bondit dans le game avec « Yamakasi », un titre qui cogne avec l’agilité d’un traceur sur les toits de Paris. Sur une instru culte de Busta Flex, tout droit sortie de la bande-son du film éponyme, le rappeur impose son style : franc, direct, et sans le moindre filtre. Il déroule son parcours avec aplomb, entre résilience et ambition, sans jamais tomber dans le mélo. « Je cours après le bonheur, pour ça il faut se lever de bonne heure », claque-t-il, comme un mantra de guerrier urbain. Le clip ? DIY jusqu’au bout : Sypher prend la caméra, cadre chez lui, et transforme son quotidien en décor de cinéma brut. Zéro décor surfait, que du vrai, capté avec l’énergie d’un passionné qui veut tout faire, tout montrer, tout dire. Une montée en puissance à suivre sur This is Riviera.
« Je cours après le bonheur, pour ça il faut se lever de bonne heure » Sypher
Sypher, le parcours d’un battant qui trace sa route
Pas question pour Sypher d’attendre qu’on lui tende la main : il construit son univers à sa manière, un morceau après l’autre, une vidéo après l’autre. En ligne, il partage ses scènes, ses sessions, ses maquettes, ses idées… tout y passe. Une transparence rafraîchissante qui fait écho à ses clips précédents, visibles sur sa chaîne YouTube, et à ses sons déjà disponibles sur les plateformes. Son public, lui, grandit au rythme de ses publications. Si tu veux rester branché sur ce qu’il prépare, et crois-nous, ça se prépare, abonne-toi à ses réseaux. Les prochaines sorties se jouent là, en direct, sans maquillage. Restez connectés, Sypher est loin d’avoir fini de grimper.
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