Il y a des femmes qu’on remarque, et d’autres qu’on n’oublie jamais. No Comment consacre son dernier riff à la seconde catégorie avec « Femme à voyous », un titre qui claque comme une gifle en plein solo de guitare. Portée par une énergie rock brute et sans concession, la chanson raconte l’histoire d’une femme qui s’amuse à captiver, dominer, et désarçonner ceux qui croisent sa route. « Tu roules tes fesses divines pour nous captiver, fasciner, limite nous torturer », chante Jean-Jacques Rubrecht, entre deux accords bien sentis. Le clip alterne entre scènes enflammées sur scène où les amplis hurlent et les regards transpirent la passion et apparitions d’une femme fatale, muse envoûtante et indomptable, dansant avec une intensité presque hypnotique. Bref, une claque visuelle à voir à tout prix sur This is Riviera.
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« Tu roules tes fesses divines pour nous captiver, fasciner, limite nous torturer » – No Comment
No Comment : l’Alsace sort les guitares
Originaire d’Alsace, No Comment n’a rien d’un groupe en mode sourdine. Mené par l’audacieux Jean-Jacques Rubrecht (guitare-chant), épaulé par Livio Boellis à la guitare, Cédric Dallet à la basse et Laurent Strack à la batterie, le groupe se démarque par son honnêteté artistique et sa fougue scénique. Ce quatuor électrique aime surprendre et bousculer les codes, entre refrains accrocheurs et textes pleins de mordant. Après l’impact de « Black & White », 2025 s’annonce comme leur année totem : une cascade de nouveaux morceaux va déferler sur les plateformes, avec des titres aussi puissants que « Love Song » et d’autres surprises en embuscade. Restez branchés, No Comment n’a pas dit son dernier riff…
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