Louis Arlette débarque avec un morceau aussi intrigant que fascinant : « Chevalier Vert ». Dans cette nouvelle vidéo, réalisée par l’artiste lui-même, il nous plonge dans un univers hybride, où la musique électronique rencontre l’acoustique pour créer une alchimie hors du temps. Imaginez un studio qui pourrait aussi bien être une grotte de hobbit qu’un vaisseau spatial. Là, Louis Arlette nous parle de son amour pour les machines, des synthétiseurs, et de cette quête d’espace sonore unique. Dans le clip, il nous invite dans sa vision créative, en fusionnant chants médiévaux et beats modernes, tout en nous déclarant : « J’aime cette idée de recréer des espaces et d’associer la musique à une occasion particulière pour accompagner la vie». Si vous cherchez une expérience musicale à la fois ancienne et futuriste, c’est ici que ça se passe. Ce morceau, à la croisée des genres, est un voyage sonore à ne pas manquer, et il est à découvrir sur This is Riviera.
« J’aime cette idée de recréer des espaces et d’associer la musique à une occasion particulière pour accompagner la vie» – Louis Arlette
Maestà : la machine, la chair et le groove
Louis Arlette n’est pas qu’un simple compositeur ; c’est un véritable artisan du son. Remarqué par le groupe AIR alors qu’il n’était encore qu’étudiant, il a longtemps peaufiné son art dans l’ombre, entre studios pointus et collaborations mode avec Jean-Paul Goude. Aujourd’hui, il revient à la lumière avec « Maestà », un EP qui fait table rase du passé. On y découvre un trio taillé pour les scènes sombres et moites : Louis Arlette aux machines, Jules Martinet à la basse, Raphaël Séguinier à la batterie. Ensemble, ils forment un power-trio instrumental où les grooves hypnotiques rencontrent des beats tranchants, dans une fusion organique entre rock industriel et électro.


Avec « Maestà », Louis Arlette affirme plus que jamais sa singularité dans le paysage musical français. Composé dans son propre studio, ce projet instrumental s’impose comme une œuvre totale, où chaque détail est pensé, ciselé, façonné par une main experte. Il propose ici un EP intense et cinématographique, à la croisée de ses multiples influences. Il y explore une étrangeté magnétique, une énergie brute et raffinée, où la voix se retire pour laisser la musique parler d’elle-même. Les programmations se frottent à des lignes de basse profondes et des guitares tranchantes, dans une construction pyramidale qui évoque autant la modernité que l’archaïsme. Avec « Maestà », Louis Arlette ne cherche pas à plaire, il cherche à marquer.
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