« Je sais plus c’qui m’impacte, je ne peux qu’te détester »… Voilà, c’est dit. Hyaku, la folie balance avec « Je ne peux qu’te détester » un morceau de rap français sombre comme une nuit sans lampadaire, brut comme une gifle mentale, et lucide comme un miroir cassé. Ici, pas de romance sirupeuse : on plonge direct dans l’après-rupture, là où la douleur s’infiltre dans les veines et se transforme en rage froide. Sur une prod minimaliste et crue, Hyaku, la folie déballe ses tripes, oscillant entre désillusion, haine accumulée et cœur éteint. Le clip, un lyrics vidéo centré sur un crâne immobile, amplifie l’impression de tourner en rond dans sa propre tête, prisonnier des rancunes. Une vibe à la fois violente et cathartique, comme si chaque mot était un coup de poing dans un punching-ball intérieur. Bref, c’est à écouter quand l’amour déraille et que la colère prend le volant. This is Riviera vous présente cet artiste à l’énergie brute !
« Je sais plus c’qui m’impacte, je ne peux qu’te détester » – Hyaku, la folie
Hyaku, la folie : l’art du chaos
Dans le paysage du hip-hop expérimental, Hyaku est bien plus qu’un simple nom : c’est un univers entier où l’émotion humaine se débat, hurle, explose ou chuchote. Cet artiste incarne une forme rare d’énergie, un mélange d’agressivité (parfois incontrôlée) et de profondeur introspective. Avec des titres disponibles sur SoundCloud comme « Seperego Déficient », « Nihilisé », ou encore « The Best Ever », Hyaku déroule un parcours impressionnant, où chaque morceau explore un pan caché de l’âme. Et l’actualité ? Ça bouge ! Abonnez-vous, suivez-le, connectez-vous : il se prépare à lâcher encore plus de morceaux, plus de contenu, plus de chaos maîtrisé. Clairement, ce n’est que le début d’une aventure musicale à surveiller… préparez-vous à naviguer avec Hyaku dans les méandres où le calme n’est qu’illusion.
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