Marshall Dixon frappe là où ça fait battre le cœur avec son nouveau single « Gladiateur », extrait de son tout nouvel album « Mauvais garçon ». Premier round d’un projet qui s’annonce passionné, ce morceau explore un amour incandescent, indomptable, qui vous enchaîne plus vite qu’un crochet du droit. « Je deviens dingo, elle me fait perdre la tête », confesse-t-il sur un beat aussi envoûtant que racé, où les émotions valsent entre force et fragilité. Le clip, réalisé avec brio par Wilbry Kayembe pour Titan Vision Prod, nous plonge dans un tête-à-tête sensuel, entre complicité et regards brûlants, avec une esthétique propre, fluide, résolument soignée. C’est un démarrage vibrant, déjà salué par This is Riviera.
« Je deviens dingo, elle me fait perdre la tête » – Marshall Dixon
Du chœur catholique à la scène internationale : un parcours inspirant
Originaire de Kinshasa, Marshall Dixon est bien plus qu’un artiste : il est une véritable institution. Né le 31 mai 1980, il fait ses premières armes dans une chorale catholique avant de passer derrière les claviers, puis au micro, dans les groupes Fléau et Keep Quiet. C’est là qu’il forge son style afro-urbain unique, entre héritage congolais et influences hip-hop globales. Depuis son envol en solo, il a enchaîné les projets marquants, de « My Law » à « Play Boy », en passant par « Good Feeling », et a collaboré avec des pointures comme Koffi Olomidé, Ol Kainry, Black V-Ner, ou encore Molare. En parallèle, il développe des initiatives comme MD MUSIC RDC, plateforme numérique pour soutenir les talents locaux. Sa carrière, aussi dense que singulière, force le respect et inspire toute une génération d’artistes afrodescendants.
« Mauvais garçon » : un retour en grande classe pour ses 20 ans de carrière
Pour célébrer ses deux décennies de création, Marshall Dixon nous offre « Mauvais garçon », un album sorti le 31 mai 2025, jour symbolique de son anniversaire. Composé de 10 titres, dont « Gladiateur », « Marinette », « Laura » et d’autres surprises, ce disque est un véritable kaléidoscope de sentiments et de sonorités. Rumba sensuelle, salsa chaloupée, dancehall ensoleillé, gospel émouvant ou encore touches de soca et hip-hop : Marshall démontre ici toute sa capacité à fusionner les genres avec élégance et cohérence. Chaque morceau explore une facette de l’amour, séduction, passion, addiction, trahison, désillusion avec maturité et finesse. Ce projet marque un tournant, celui d’un artiste arrivé à pleine puissance, maître de son art. L’album circule déjà sur les réseaux, suscitant des vagues d’enthousiasme. Il est temps de se replonger dans l’univers de Marshall Dixon, car le « Mauvais garçon » n’a jamais aussi bien porté son nom.
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