Attention, rencontre au sommet : Simangavole invite Emily Sheppard pour une parenthèse musicale hors du temps avec « Koté Ou », morceau envoûtant à la croisée des cultures. Ici, le Maloya Maniér Fanm, profond, battant, chargé d’histoire, se mêle aux envolées folk et classiques d’un violon inspiré par la nature sauvage de Tasmanie. Deux îles, deux femmes, deux forces d’expression qui s’écoutent, se croisent, et finissent par danser ensemble. Le morceau est une ode à la connexion, à l’harmonie des différences, à l’écho des racines. Le clip, signé Margot Duclay et Katy Toave, met en scène cette fusion dans des décors naturels, entre mer turquoise et forêts mystiques. L’image est douce, solaire, mais profondément habitée. Une respiration précieuse dans un monde pressé. Une création vibrante présentée par This is Riviera.
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Un groupe, une île, une voix : Simangavole en pleine ascension
Depuis ses débuts, Simangavole cultive un maloya puissant, viscéral, profondément ancré dans la terre et la mémoire de La Réunion. Premier groupe entièrement féminin à faire vibrer ce genre musical traditionnel, elles battent le rythme de l’histoire avec tambours, chœurs et feu sacré. Basées à La Réunion mais connectées au monde, les artistes de Simangavole portent haut la voix des femmes, la mémoire des esclaves et l’énergie d’un peuple en mouvement. Entre scène, studio et forêts profondes, elles tracent un chemin libre, fort, nécessaire.
Leurs titres, comme « Lil Lavé Tout’ », « Zoli Kozé » ou « Kan Ou Plèr », sont autant de cris du cœur, entre revendications, poésie et fierté culturelle. Aujourd’hui, « Koté Ou » marque un tournant artistique fort, à la fois moderne et respectueux de leurs racines. Et ce n’est qu’un avant-goût : l’arrivée prochaine d’un projet plus vaste se profile, laissant présager de nouvelles pépites engagées, voyageuses, vibrantes. Gardez un œil sur Simangavole, la suite s’annonce volcanique.
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