Parfois, les morceaux les plus puissants ne crient pas. Ils murmurent. Judith Ann Robertson, artiste à la sensibilité rare, nous tend la main avec son nouveau titre « Douce Communion », un moment suspendu entre ciel et terre. Ici, pas de démonstration, mais une offrande. Ce n’est pas un morceau qu’on écoute, c’est une traversée intérieure. « Voici le sang de Jésus d’une valeur infinie », souffle-t-elle dans un souffle presque sacré. Le clip, quant à lui, joue la carte de la simplicité poétique : un repas partagé, une prière silencieuse, des larmes discrètes… chaque plan est un battement d’âme, une émotion à l’état brut. C’est humble, mais d’une beauté qui reste en vous comme un écho. Une lumière douce dans un monde parfois trop bruyant. Et si ce message vous touche, partagez-le : « Parce qu’un cœur touché en touche un autre… » Ce petit bijou d’intimité est à découvrir maintenant sur This is Riviera.
« Voici le sang de Jésus d’une valeur infinie » – Judith Ann Robertson
Judith Ann Robertson, entre deux mondes, une voix qui relie les cœurs
Autrice, compositrice, et véritable alchimiste des émotions, Judith Ann Robertson navigue entre les cultures et les sons avec une grâce rare. Après avoir vécu de nombreuses années en France, elle forge un univers musical à son image : enraciné et aérien. Elle mêle habilement sons modernes et instruments traditionnels pour créer des œuvres authentiques et profondes. Sa chaîne YouTube regorge de trésors, entre clips touchants et prestations en live, et ses réseaux offrent un vrai plongeon dans son univers singulier.
Sa voix, souvent comparée à celles de Joni Mitchell ou Joan Baez, est un vecteur d’émotions brutes, qu’elle utilise autant pour parler de sujets brûlants – comme l’Ukraine – que pour élever des chants d’adoration. Forte de trois albums (dont « Rebâtir Ta Maison », devenu « Father’s House » en anglais avec l’aide du guitariste Paul May), elle ne cesse de se réinventer. Gardez un œil sur Judith Ann Robertson…
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