Le silence d’une chambre, une lumière tamisée, une voix qui tremble un peu mais ne plie jamais. NZA signe avec « PROMESSES » un véritable serment en musique. Produit par ABEATZ, ce titre distille une tendresse rare, celle qui s’invite dans les failles, là où l’amour devient un pari risqué. « Tu me connais, un peu trop fragile, le genre de meuf à qui faut jamais mentir » : la chanteuse ne mâche pas ses émotions, elle les sculpte. La mélodie est fine, presque murmurée, comme si elle ne voulait pas réveiller les blessures d’hier. Le clip, réalisé par Le Collectif pour le label Oculus, nous plonge dans l’intimité d’un quotidien simple : un appel, une amie, des regards qui en disent long. Tout est suggéré, tout est ressenti. This is Riviera nous présente une artiste qui ne promet pas, elle livre.
« Tu me connais, un peu trop fragile, le genre de meuf à qui faut jamais mentir » – NZA
NZA, vraie, vulnérable et brillante
Belle, stylée, et surtout terriblement sincère, NZA n’a pas besoin de surjouer pour captiver. Depuis ses débuts, elle déroule un fil rouge fait de vérité et d’émotions crues. Son palmarès, ce n’est pas une étagère remplie de trophées, mais un public qui la suit pour ce qu’elle est : authentique. Et ce n’est que le début… La suite s’annonce intime, vibrante, peut-être même un peu explosive.
Avec « Lingot d’or », sorti plus tôt cette année, elle célébrait la valeur de soi, comme une réponse lumineuse à ses titres précédents « Hé Hé », « Brisée » ou encore « Incomprise ». Chacun de ses morceaux est un miroir tendu à celles et ceux qui doutent, qui aiment, qui espèrent. Restez branchés, NZA n’a pas fini de tenir ses promesses.
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