Photo de Liam Origa pour son clip Bad One

Après quelques semaines d’absence, Liam Origa fait son grand retour avec un son détonant ! Nous l’avons rencontré pour une interview à l’occasion de cette dernière sortie.

Liam Origa est enfin de retour (relire l’article : Liam Origa envoie du très lourd pour « French Drill ») ! Pour notre plus grand plaisir, l’artiste vient tout juste d’annoncer l’arrivée de son tout nouveau single intitulé « Bad One » qui sera disponible le 11 juin prochain. Il répond à quelques unes de nos questions afin de nous en dire plus : 

Bonjour Liam ! Déjà, pourrais-tu te présenter à nos lecteurs ?

Liam : Of course ! Du coup, je m’appelle Liam Origa, j’ai 20 ans, j’habite à Paris et je suis un amoureux inconditionnel de musique. Je fais de la musique Hip Hop et Pop Urbaine en Anglais et Français. Je suis aussi étudiant en commerce. Je pense que c’est déjà une bonne petite présentation non ? (rires)

Qui t’as inspiré à faire de la musique ?

Liam : Déjà, ma mère qui m’as inscrit au conservatoire. En vérité, beaucoup de mes passions actuelles viennent d’elle ! Elle m’y a inscrit quand j’avais quatre ans. J’y faisais du solfège, du saxophone, j’étais dans une chorale et dans un orchestre symphonique. J’ai arrêté à 13 ans en plein milieu de mon 2ème cycle parce que ça m’avait un peu soulé. J’en voyais pas le bout et je me suis dis que j’ai déjà passé de belles années dedans.
 Jusqu’à mes 11 ans, je ne savais pas trop quoi faire. Je savais que je voulais être populaire mais je ne savais pas comment. A 12 ans, alors que j’allais à Bercy pour la première fois pour un show de catch américain, je savais que je voulais faire de l’entertainment. Ca s’est complété par la suite par l’envie de faire de la musique mon métier. J’ai donc commencé à écrire mes premières chansons, mais ce n’était pas fameux.
A 13 ans, j’ai un peu abandonné l’idée de faire de la musique car je pensais que j’avais une voix de merde, mais je muais tout simplement. Je me suis donc lancé dans le catch. J’étais dans une association qui s’appelle l’APC et j’ai eu l’opportunité d’y faire un show alors que j’avais tout juste 14 ans. Un de mes plus beaux souvenirs ! J’y suis resté deux ans et j’ai repris la musique à 16 ans, principalement poussé par Nicki Minaj et Iggy Azalea. Puis par la suite, j’ai sorti mes premiers projets qui ce sont fait aussi vite effacé, et en 2018, je sors un premier remix de Hard White de Nicki Minaj. Puis, j’ai continué dans ma lancé !

Peux-tu nous raconter le développement de « Bad One » et son message ?

Liam : Pour être tout à fait honnête, je n’aurais jamais cru faire une chanson de ce type. J’avais écris une chanson en Franglish en me disant que ça serait la chanson que je chanterais si, un jour, je fais l’Eurovision. 
J’ai mis cette chanson dans les archives et lors du premier confinement, il y avait un « open call » d’ouvert pour envoyer sa candidature pour Destination Eurovision. C’est là que je me suis dis « autant faire la chanson ». Je me suis dis que c’étais enfin mon moment ! Vous savez, ce moment de briller qu’on attend depuis notre naissance ! 
J’ai fais la chanson avec « Mixed By Burnz » qui travaille au M Factory à Montreuil. C’est d’ailleurs un studio de fou, du coup n’hésitez pas à y jeter un œil si vous êtes artiste !
 On a fait l’instru, l’enregistrement, le mixage et le mastering. Par la suite, j’ai fais des photos avec une amie ainsi qu’une biographie car c’est ce qu’ils demandaient pour la candidature. J’ai envoyé ma candidature, aucune réponse. En fait, ils ne m’ont jamais fait de retour, et je pense que c’est aussi à cause du fait que je n’étais pas inscrit à la SACEM et que c’était une galère sans nom pour s’y inscrire (j’ai pris plus de 6 mois pour faire valider mon dossier.). J’attendais malgré tout un signe de leur part, puis, j’ai vu que l’émission avait commencé un jour ou je zappais un peu pour voir ce qu’il y avait à la télé. J’en ai conclu que le projet était finalement bien enterré. Mais, on peut dire que je devais représenter la France à l’Eurovision ! (rires)
Par la suite, un peu dégouté d’avoir raté le coche, j’ai laissé trainé cette chanson plusieurs mois. Puis, un beau jour de Décembre avant le nouvel an, je me suis dis : « autant la sortir » ! Et voilà, le son sortira donc le 11 juin sur toutes les plateformes d’écoutes !
Quant à son message, c’est assez simple. Je suis le meilleur, les haineux peuvent aller se faire foutre. Il n’y a pas plus simple ! (rires)

Et pour la suite ?

Liam : Je ne sais pas. On ne sait pas de quoi notre avenir est fait. C’est sûr que j’adorerais vivre de mes créations et de pouvoir en faire une carrière solide, mais peut être que je n’y arriverais pas. Même si on se bat pour ses rêves, rien n’est sûr. Mais ce n’est pas grave, je sais que je trouverais d’autres moyens de faire de la scène et de l’argent si la musique ne marche pas pour moi. Je ne parle pas des moyens du style système pyramidale ou autre. Je prépare un diplôme en commerce et je compte bien le rentabiliser à un moment. Je pourrais très bien monter ma propre entreprise de A à Z et faire de la scène à côté.
En tout cas, je sais que je ferais tout pour avoir un avenir confortable, et au final, mon plus grand rêve serait d’avoir une influence positive dans la vie des gens. Croisons les doigts pour que ce rêve puisse devenir réalité !

Un dernier mot pour notre communauté ?

Liam : « Bad One » est disponible en précommande dès à présent sur Itunes et Apple Music. Le son et le clip sortiront le 11 juin. N’hésitez donc pas à me follow sur les réseaux sociaux pour suivre la sortie du son et pour me suivre dans mes prochaines aventures !

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