Un battement électronique qui frôle la rêverie, une voix spectrale signée Marie Tondeur, et cette phrase qui résonne comme un aveu universel : « What else can we do when we’re afraid? », voilà le cœur battant de « Maybe we could », nouvelle pépite électro pop imaginée et produite par Milomat. Entre espoir voilé et fragilité assumée, le morceau avance sur une ligne fine, où chaque note semble chercher un souffle dans l’obscurité. C’est beau, sincère, et ça reste. Côté visuel, Milomat mise sur l’épure intrigante d’un clip animé auto-produit, dont la poésie visuelle captive autant que la bande-son. Une ambiance suspendue dans le temps, presque cosmique, qui donne à ce titre une dimension supplémentaire. De quoi s’immerger, s’interroger, et surtout s’émouvoir. Un projet délicat, maîtrisé, et présenté avec fierté par This is Riviera.
« What else can we do when we’re afraid? » Milomat
Milomat, architecte d’émotions numériques
Milomat ne se contente pas de produire des sons : il construit des atmosphères. Artiste pluridisciplinaire et producteur intuitif, il navigue entre nappes électroniques et sensibilité pop avec la précision d’un horloger du futur. Derrière l’apparente simplicité de ses compositions, on découvre une vraie quête de l’intime, un goût pour les détails qui font mouche. Chaque création est une expérimentation douce, une forme de méditation sonore qui dépasse les codes. Avec « Maybe we could », il poursuit sa trajectoire singulière, discrète mais imparable.
Actuellement en plein tour d’Espagne à moto, Milomat continue de composer d’autres morceaux sur la route. Une aventure libre, rythmée par le vent, les paysages et l’inspiration du moment. Entre deux trajets, l’artiste prend le temps de faire naître de nouvelles idées, fidèle à sa démarche sincère et spontanée. Pour les esprits curieux, les cœurs sensibles et les rêveurs lucides : il est grand temps de suivre Milomat sur ses plateformes. Une chose est sûre, il n’a pas fini de nous émouvoir.
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