Le Jarl, un videur de boite de nuit qui n’a pas sa langue dans sa poche

Zoom sur l’aspect le plus complexe du monde de la nuit…

Le Jarl lève le voile sur une partie du monde de la nuit, à savoir le métier de videur. Lui-même videur depuis plusieurs années dans différentes boites de nuit, l’homme parle de son travail qui s’avère être beaucoup plus complexe qu’on ne le croit. Accepter des personnes ou les recaler se trouve être une tâche très compliquée dont les conséquences pourraient être dramatiques et considérables dans certains cas. Et justement, le Jarl nous donne sa vision des choses et surtout les ficelles du métier, sans toutefois rentrer dans des polémiques ou verser dans la discrimination.

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Les communautés les plus recalées…

En effet, dans l’une de ses vidéos, le Jarl parle des communautés les plus agressifs quand il s’agit de les recaler. Pour lui, les asiatiques sont les clients les plus cool et les plus respectueux, car quand il les recale, ils ne font pas de problème et ça se passe de façon « royale ». L’autre communauté où ça se passe bien, ce sont les africains. Ces derniers ne font pas de problème quand ils sont refusés et attendent le bon moment pour essayer de négocier. Par contre, les Anglais, c’est une autre paire de manche. Très agressifs, la situation avec ses derniers peut selon lui partir vite en vrille sans toutefois atteindre la bagarre. C’est le cas également pour ceux issus des pays de l’Est. Là où ça se complique pour de vrai, c’est avec la communauté arabe. Ces derniers ne digèrent pas le refus et montent très vite au créneau avec des menaces de mort et des insultes. Le Jarl précise qu’à l’arrivée des Arabes, il change l’organisation et renforce la sécurité autour des portes. Pour ce qi est des Français, le videur fait savoir qu’ils arrivent déjà en état d’ébriété très avancée et qu’ils refusent de reconnaitre qu’ils sont bourrés et c’est ce qui cause des ennuis avec eux. Dans une autre vidéo, le videur raconte la fois où il a mené une expérience pour conforter son avis. C’est ainsi qu’il a fait rentrer toutes les communautés citées plus haut. Résultats : bagarre générale. C’est pourquoi il est impératif selon lui de filtrer les entrées et de faire très attention à l’équilibre. Toutefois, le Jarl nuance et tient à souligner qu’il ne s’agit pas de règle générale et que parfois certaines personnes de ces communautés font preuve de bons sens et se tiennent bien. D’ailleurs, en commentaires, certains internautes ont souligné que « c’est une question d’individu et non pas de communauté », d’autres, gérants de boite de nuits, approuvent ses dires.

Et c’est justement l’atout du Jarl car il lance des débats sur cette question sans cependant rentrer dans des polémiques à caractère raciste et discriminatoire. Et c’est tout à son honneur parce qu’il met la lumière sur un aspect du monde de la nuit que la plupart ignorent.